Guenièvre Vohn [Charmeuses d'oiseaux de proies]

I) Identité :
∆) Nom: Vohn
∆) Prénom: Guenièvre
∆) Surnom: Geni
∆) Âge: 38 ans


II)Tendance :
∆) Religion: Excommunié
∆) Race: Aelon


III)Descriptions
∆) Physique: Délicate et d'apparence inoffensive, Guenièvre représente parfaitement la femelle de sa race. Son dos est décoré de deux grandes ailes mais ne lui permettent que de planer que pendant quelques minutes. Elle possède même une grande queue couverte de plumes, très pratique pour l’équilibre lors de ses petits moments de voltige. Ses cheveux sont longs, blond foncé, presque châtain. Et ses yeux, que dire... ils sont étranges, perçant et sa pupille est verticale et son iris est jaune doré. Un parfait mélange humain et animal... Et son sourire, si petit, si discret, qu'on croit toujours qu'il est sarcastique. Elle est généralement vêtue d’une tenue qui fait paraitre son corps moins fragile et petit qu'il est. Un genre d'armure, des genouillères, des gants et de grande botte en cuivre
∆) Morale: Son physique est une parfaite couverture pour cacher son fort caractère. Personne ne voudrait s'approcher d'elle si son caractère ne serait pas camoufler derrière son regard perçant et son sourire envoutant... On pourrait la comparer à un chat; si câlin et si doux quand il le veut... mais dans le fond c'est un animal indépendant et il pourrait donner les pires maladies à son maitre par une simple morsure si celui-ci venait à le prendre quand il n'en a pas envie... Dangereuses créatures que sont les chats... et Guenièvre. Elle a un petit coter sournois et ... sauvage, qui lui vient de sont coter animal. Mais bien sûr elle n'est pas que méchante. C'est une femme qui peut se montrer des plus attentives, fiables et douces... comme une humaine normale. Si vous voulez embarquer quelqu'un dans un quelconque entourloupe ou mutinerie, vous n'avez pas choisi la bonne personne... Guenièvre n'est pas naïve... Puisqu'elle ne peut utiliser son petit corps fragile et pauvre en muscle, son mental et sa ruse animale sont ses seuls forces.
∆) Signe Particulier: Elle traine toujours un grand glaive avec elle, simplement parce qu'elle veut paraitre un peu moin inoffencive.

IV) Histoire :
∆) Histoire: Une pénible histoire est celle de Guenièvre Vohn...

Née d'une femme humaine et d'un père Aelon, Guenièvre ne vécu pas longtemps avec ceux-ci. En faite sa mère était une prostitué Kabadj et son père un excommunié bien normal, un peu trop paresseux pour se trouver une vrai épouse... Elle fut donc élever par sa mère Kabadj, dans une petite cabane faite de vielles planches de bois pourris et de boue sèche pour assembler le tout. Élever est un bien grand mot pour le genre de vie que menait Guenièvre... Sa mère partait du matin au soir ne laissant derrière elle que le restant de son dernier repas et une cruche d'eau pour nourrir sa fille. Euh... ses enfants. Bien sûr, puisque sa mère était une prostitué, Guenièvre ne fut pas longtemps la seule enfant de celle-ci... Ils étaient en tout 7 et Guenièvre était l'aîné.

Ils avaient tous un physique différent mais Guenièvre était la seule à posséder des ailes et une queue. Mais elle n'en était pas pour autant rejeter. Entre eux, ils s’étaient formé un lien aussi fort que s’ils avaient eu tous les mêmes parents. Ils allaient chacun leur tour chercher de quoi nourrir tout le monde, et se contentaient de l'eau que leur laissait leur mère.

Mais un matin, alors que chacun se préparait à leur nouvelle tâche du jour, un des frères de Guenièvre vit que la cruche d'eau était vide... complètement sec... Ils comprirent tous alors que leur mère n'était pas revenue... et qu'elle ne reviendrait plus. Ce fut alors évident pour tous; ils devront maintenant se débrouiller seul dans la société, car ils ne pourront pas voler pour les autres toutes leurs vies

Mais malheureusement la vie dans la rue fut fatale pour plusieurs d'entre eu, surtout pour les plus jeunes qui avaient entre 8 et 12 ans. Guenièvre avait alors 16 ans quand elle commença sa nouvelle vie de nomade. An fil du temps elle perdit de vu ses derniers frères et sœurs encor en vie, puisqu'elle s'éloignait tranquillement de son village natal pour aller vivre dans un endroit ou la religion ne guidait pas les moindres fait et geste des gens. On appelait cet endroit: Les Trois-Cols.


Plusieurs semaines après le début de son périlleux voyage vers la "liberté", Guenièvre se retrouva face à face avec une créature qui lui était drôlement familière, quoique beaucoup plus petite quelle. La dame qui en était son propriétaire l'informa que c'était un faucon pèlerin. Elle la regarda effectuer quelques manœuvres avec son devant les gens du cartier. Elle admira cette majestueuses créature faire ses tours de voltiges et démontrer ses talents de chasseurs pendant des heures, ne se lassant jamais. Cet événement marqua Guenièvre et fut un début d'une nouvelle passion. Guenièvre alla voir la dame à la fin de la journée pour lui demander où elle avait trouvé son faucon. Celle-ci lui répondit que pour avoir le privilège d'avoir se genre d'oiseau avec soit, il fallait que tu lui rendes un grand service, puis que tu lui demande gentiment de faire carrière avec toi. "Dans don cas tu n'auras pas de difficulté de communication" lui dit-elle enfin. Guenièvre resta longtemps perplexe... *Comment demander à un oiseau de faire carrière avec moi??*, se demandait-elle constamment.

Jusqu'au jour où, par la plus étrange des coïncidences, lorsqu'elle regardait un autre spectacle de ce genre, un oiseau se déposa sèchement sur une branche d'un arbre situé dans la forêt derrière le charmeur d'oiseau. Il fixait Guenièvre des ses grands yeux jaunes et l'ombre des arbres ne laissait voir que sa poitrine et ses serres acérés. Curieuses, Guenièvre ne pu s'empêcher de s'éclipsé discrètement du spectacle et d'aller voir cette oiseau de plus près. Étrangement, l'oiseau ne silla pas d'une plume malgré l'approche de Guenièvre. Maintenant face à face avec l'animal, Guenièvre pu l'identifié grâce à se qu'elle avait apprit en regardant les charmeurs d'oiseaux. C'était une petite crécerelle fraichement sorti du nid. Mais elle était à première vu un peu maigrichonne et elle devait être venue dans le cartier pour trouver de quoi se trouve à manger. Guenièvre sorti alors de sa poche quelques miettes de pain à moitié sèche et les lui tendit. L'oiseau les goba tous d'un seul coup de bec. Elle fit un petit sourire, contente d'avoir peut-être trouvé son premier ami... Elle jette un rapide coup d'œil autour d'elle et attrapa une sauterelle perché sur une brindille pour la donner à l'oiseau. Il la goba d'un coup, mais cette fois-ci il lâcha un petit cri que Guenièvre comprit comme étant satisfait. Elle recula de quelque pas, tendit son bras et regarda longuement l'oiseau dans les yeux. Il finit par venir s'y percher, et lâcha le même petit cri joyeux.

L'oiseau ne la quitta plus jamais. Au fil du temps il se forma un lien particulier qu'on pourrait comparer à une mère et son enfant. Elle réussi même à lui demander de faire quelques tours, puisqu'elle avait apprit à communiquer avec lui avait un genre de langage bien a eu principalement fait de signe de tête et de main. Enfin, elle fit son premier spectacle. Elle était la meilleure du cartier, puisqu'elle était capable de chanter avec son oiseau, discuté avec lui et même de le faire danser pour attraper une souris. Elle devint rapidement connue de tout le village, puis des villages atours. Mais elle n'avait pas abandonné son but de se rendre aux Trois-Cols. Et c'est dans le reste de son voyage qu'elle "rencontra" une buse qu'elle nomma Bassah et un balbuzard aveugle qu'elle nomma Gargatel.

Elle est maintenant reconnue de tous les villages de son passage, et ne cesse de se faire arrêter sur son chemin pour une démonstration.


V) Autre chose ? J'ai terminé!